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acquisitions 2018

Elise Benard

Après des études aboutissants au diplôme de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, elle participe à de nombreux projets collaboratifs pour la scène (Jane Joyet, Ludmilla Dabo, Lionel Parlier ...).


La démarche artistique d’Elise Benard est concentrée dans sa volonté de donner une matérialité aux temps, aux souvenirs (et à leurs mutations) et aux liens parfois invisibles entre les générations, les entités, les individus. Le bois est son support de prédilection, elle en souligne les différentes strates, les différents états, dans un travail patient pour donner une plasticité au renouvellement des saisons, qui absorbe, qui modèle, qui déforme, qui transforme.


Pour ce faire elle intervient de manière volontaire et active durant toutes les phases du processus d’élaboration des pièces, qu’elle produit le plus souvent sans faire appel à la délégation d’un praticien. La pratique de la gravure sur bois concrétise au plus près cette démarche puisqu’elle nécessite autant un travail de sculpture des matrices, que d’impression de ses creux en autant d’images multiples qui deviendront des échos du temps et de l’espace.
Dans la résistance de la matière et le temps nécessaire à cette technique Elise Benard trouve autant le sujet de ses pièces que la force qui les anime.
En contrepoint de cette temporalité longue, elle explore avec le dessin une expression plus instantanée qui pose un regard délicat sur la fragilité et l’évanescence. En synthèse c’est son travail d’écriture spatiale et d’accrochage des différents éléments crées qui finalise son propos. C’est alors que s’accomplit pleinement cette précipitation physique de la matière et du temps.

 

Site de l'artiste

 

 

Benjamin Le Brun

« Le Centre des Loisirs » est un projet de mise en scène réalisé par Benjamin Le Brun, dans un décor choisi, celui des zones commerciales périurbaines – actuelles, anciennes ou en friche -, avec des modèles jouant le rôle de consommateurs « décomplexés ». Il illustre à travers l’absurde et la dérision, la mutation actuellement en cours des centres commerciaux en France – à l’instar des « Malls » américains et des nouveaux « Retail Parks »- qui, pour attirer plus de clients intègrent la dimension « loisirs » à leur offre, pour passer du lieu de vente, au lieu de vie.

 

A travers le monde, c’est une mutation déjà en cours : piscine à vagues, accrobranches, pistes de ski, discothèques, parc d’attraction,… sont intégrés aux centres commerciaux « nouvelle génération ». Cette série esquisse ainsi les nouveaux comportements des consommateurs à qui il est promis plus de plaisir et moins de contraintes.

 

Site de l'artiste

 

Julie Monnet

« Épaisseur d’écorce » - Du rapt de l’âme de l’Arbre ?
S’empreindre : être marqué par quelque chose, en porter l’empreinte. Tel est le noeud du projet « Épaisseur d’écorce » mené par l’artiste Julie Monnet. Une expérience immersive dans le végétal qui fait sens en révélant la beauté cachée, brute, unique, de l’Arbre.
Julie Monnet parcourt la forêt. Elle arpente les zones périurbaines où, en lisière de ville, la nature disséminée joue à cache-cache avec les entrepôts, les friches industrielles. Ici, quelques arbres font figure de résistants face à la tentaculaire extension urbaine. La plasticienne touche du regard la peau des arbres, en quête de celui qui la touchera. La surface à géométrie variable d’un fût, fragment infime de paysage, peut susciter chez elle une émotion qui s’apparente à une re-connaissance


Au moyen d’un polystyrène de grande dimension, Julie Monnet amorce un corps à corps avec l’arbre. Elle applique, enveloppe, presse, appuie, s’arc-boute pour que la moindre ridule, la plus infime strie de l’écorce viennent marquer, empreindre la surface de la plaque. Ce contact avec le végétal crée une constellation de formes en creux. « Cette phase de la création tient de l’exercice d’équilibriste entre l’intention et ce que la matière permet de faire » explique-t-elle. « C’est un jeu de rebond entre moi, la matière et l’arbre. » Les petites branches en saillie, les rugosités perforent le médium. Les lichens, les lianes, les noeuds vivants s’y fossilisent en négatif.


En atelier, Julie Monnet couvre ces plaques zébrées d’une multitude « d’accidents » naturels d’une encre à base d’huile. Endossant un geste artisanal, une technique réfléchie, elle a conçu un outil spécifique destiné à presser d’un trait le polystyrène contre l’étendue de papier. L’arbre et le papier glissent de l’un à l’autre. Ils fusionnent.

 

Site de l'artiste

                                          

Floriane Musseau

Elle développe depuis plusieurs années un répertoire de formes imaginaires. Elle fabrique un langage graphique qui lui est propre, souvent constitué de signes et de symboles multiples, provenant d’échantillons qu’elle prélève autour d’elle. Ainsi, le dehors est un espace de jeu qu’elle organise par chapitres poétiques, temporels et plastiques. C’est au travers des filtres du dessin, de la gravure, du numérique ou encore de la photographie, qu’elle raconte une nature vivante et habitée, comme autant de tentatives d’aller à la rencontre du monde et de le
réinventer.
Par ailleurs, elle cherche à multiplier les expériences éducatives liées à sa démarche artistique afin de partager avec d’autres ses connaissances, son énergie et sa sensibilité. Elle intervient auprès de différentes structures : école primaire, collège, lycée, association, ESAT, foyer de vie, pour réaliser des ateliers d’Arts-Plastiques.

 

Eva Avril

Eva Avril est photographe, elle vit et travaille à Poitiers. Après des études de Géographie, elle suit en 2005 une formation de photographe à l’école « LM Communication » de Nîmes. En 2008 elle part vivre à Londres où elle est assistante photographe, puis, de retour à Poitiers en 2011 elle travaille au sein du laboratoire de recherche de civilisation médiévale, le Cescm. Développant ses recherches personnelles autour des notions de paysage et d’itinérance, elle interroge d’abord sa propre relation au paysage dans la série Détour{s}

 

Fragments et paysages (2014) réalisée lors d’un voyage de neuf mois à travers l’Europe, puis questionne par la suite les temps multiples du cheminement des hommes et les métamorphoses paysagères qui en naissent à travers une nouvelle série nommée Paysages divisés (2016).


Depuis, Eva Avril travaille à la réalisation de nouveaux ensembles où l’identité et la relation de l’homme au territoire viennent nourrir sa démarche.

 

 

 

 

Marie Tijou

Depuis 2013, l'artiste Marie Tijou cherche par superposition, taches, traits, à combiner des éléments collectés dans les livres de contes, son imaginaire, ce qui l’entoure, afin de se les réapproprier. Elle a développé ainsi un bestiaire fantastique, puis s'est arrêtée sur l’étude des oiseaux de la Région. Toutes ces productions ont engendré des regards, des dialogues, des face-à-face entre l'homme, la nature et l'animal. Des réflexions esthétiques qui ne l’ont jamais quittée. En 2018, elle plonge dans l’eau en amorçant une série de dessins intitulée Marée haute. Elle aborde la thématique de l’eau, représente des fonds marins, la faune et la flore des milieux aquatiques riches et mouvementés. Ce qui intéresse l'artiste, ce sont les expériences graphiques générées par l'association de l’aquarelle et la gravure. Il s’agit de nager dans la couleur, de créer la surprise dans les couches superposées qui cachent et révèlent des histoires communes ou plus personnelles.


"Je voudrais faire un détour par les fonds marins, les milieux aquatiques flous et ses écosystèmes garnis. De manière onirique et fantaisiste, je me réapproprie certaines images pour raconter des morceaux de légendes, d’histoires communes et plus personnelles. J’associe sur le papier deux techniques : l’aquarelle et la gravure". Marie Tijou

 

Site de l'artiste 

 

                                              

Christine Crozat

Cinq signes donc : chapeau, chaussure, paysage, berceau, sans oublier le sourire.
Les signes s’assemblent et se ressemblent en un étonnant raccourci visuel en lequel l’histoire intime, histoire générale, histoire de l’art et passage du temps se rencontrent sans violence, au contraire embrassement.
"Rouler un patin" : les chaussures des époux Arnolfini sont mêlées comme des langues en un tournis visuel.
Car la cinquième dimension que vous attendiez n’est pas le temps, mais ce temps souriant, ce sourire du temps qui éclaire les transparences du travail de Christine Crozat.

Site de l'artiste

 

 

Véronique Deiss

Après des études aux arts décoratifs de Strasbourg, Véronique Deisss'est consacrée à l'illustration de livres
pour enfants et au dessin humoristique pour adultes. Elle réalise également des lithographies exposées dans différents lieux.

 

Souvent endécalage subtil avec le texte, son interprétation graphique crée l'hilarité pour notre plus grand plaisir.

 

 

Eva & Adèle

Actuellement, peu d'artistes vivants sont aussi mondialement célèbres qu’EVA & ADELE. Depuis dix ans, ces deux artistes forment un seul personnage unique et hermaphrodite. Elles se firent remarquer par des apparitions publiques lors des grands événements d'art contemporain 


Biennales de Venise ou de Lyon, inaugurations de la Documenta ou de la Manifesta, sans oublier pratiquement toutes les foires d'art contemporain importantes à travers le monde. Aujourd'hui, la venue d'EVA & ADELE a souvent valeur de test : " Viendront-elles ou pas ? ". Dès leur arrivée dans un grand vernissage, le sentiment qu'il s'agit d'un événement important se répand alors. Etrange pouvoir de deux artistes qui ont volontairement refusé, dès le début, tout appui institutionnel ou commercial.

 

Site des artistes

  

Nathalie Lété

Elle travaille à bien des égards, mélangeant différentes techniques et médiums, illustration, céramique, textile et peinture ... Elle s'inspire de
ses voyages, mais aussi par le mélange de jouets anciens et de vieilles gravures de fleurs et d'animaux.


Son travail est coloré, naïf et poétique, parfois étrange, au point d'aller vers l'art brut. Son monde est nourri par l'art populaire et populaire de
ses deux origines (son père chinois et sa mère allemande). Elle produit des livres pour enfants, des jouets tricotés...

 

Nathalie Lété, plasticienne de formation, se questionne dans cette exposition composée essentiellement de tapisseries et de céramiques, sur la question de l'objet. "D'origine chinoise [père] et allemande [mère] , l'artiste est marquée par les contes de fée, les mythes de l'enfance, sans aucune mièvrerie. Par l'inquiétude suscitée par des histoires comme celles du petit chaperon rouge." Bruno Gaudichon
"J'aime me retrouver seule avec moi-même et avec mon travail, cela me protège du monde extérieur, de pouvoir me créer mon propre monde", explique l'artiste. nathalie Lété

 

 

 

Jean-Jacques Ostier

Jean-Jacques Ostier (1945 - 2011) né à Saigon, Vietnam. Au début des années 1990, il peint de manière abstraite, en technique mixte, des minéraux ou leur agglomérat, montagne, pain de sucre, terril.

Dans la seconde moitié de ces mêmes années, il devient portraitiste d'animaux, puisqu'il s'attache exclusivement à leur visage et non à leur démarche. Il en arrive à ne les saisir qu'en gros plans de têtes, l'âne dépressif, la vache ahurie, le chimpanzé pensif, le coq en alerte, et même l'escargot sur sa feuille de laitue qui remplit toute une grande toile. Les fonds sot noirs ou or, sans l'impassibilité des icônes.

 

 

Fernando Puig Rosado

Avec Desclozeaux et Bonnot, il fonde en 1967 à Avignon la Société Protectrice de l'Humour ; l'organisation réunit jusqu'à 53 dessinateurs qui exposent chaque année lors du Festival d'Avignon pendant 10 ans. Il a travaillé pour les grands titres, Le Nouvel Observateur, Siné Mensuel, Le Canard enchaîné, Le Figaro.


Ses dessins linéaires au crayon, simples mais expressifs, sont colorés à l'aquarelle en couleurs pures diluées. Leur humour sympathique réside en grande part dans le sourire constant de ses personnages et l'aspect chaleureux de ses images.

 

 

                                                           

Daniel Clauzier dit Willem Van Haecht

Daniel CLAUZIER dit Willem van haecht, s’installe en France à l’adolescence, parallèlement à ses études d’Histoire de l’art à Poitiers, il commence son travail artistique.
En 1998, il réalise sa première action artistique. « J’avais des ennuis dans ma classe avec une fille qui pleurait ». Entre 2001 et 2003, il participe à plusieurs manifestations culturelles : Poitiers vu par, Image ouverte, La Nuit Sleep…


C’est à ce moment que son travail prend sa direction actuelle (premières installations photographiques et premières vidéo). En 2002, il obtient sa Maîtrise en Art Contemporain en accomplissant un travail sur la place du spectateur dans l’oeuvre de Michael SNOW (artiste canadien).


Maitrise d’Histoire de l’art, spécialité art contemporain, La place du spectateur dans l’oeuvre photographique de Michael Snow, sous la direction d’Alain Fleig et Solange Vernois, Université de Poitiers.

 

Site de l'artiste

 

 

Marine Antony

Dans cette sculpture photographique je joue à saisir l’espace par le biais de jeux de lumière, de transparences et de reflets. Une résidence d’un mois en immersion dans l’immensité d’un paysage de l’arrière-pays niçois m’a amené à cet acte répété inlassablement. Une vaine tentative, à l’instar du jongleur jouant à défier la gravité, qui, sans autre fin, ramasse perpétuellement les objets tombés à terre pour les lancer à nouveau.
Marine Antony est née en 1986. Elle a étudié les arts plastiques à l’École Européenne Supérieure de l’Image de Poitiers, ainsi que la danse et les nouveaux médias à l’UQAM et à l’Université Concordia à Montréal. Ses travaux allient les arts plastiques, les arts sonores et les arts du mouvement pour composer des environnements immersifs, des mondes, des expériences sensibles, directement liés à l’expérience des


espaces. Elle a récemment exposé à la Galerija Klovićevi dvori à Zagreb et à la fondation Vasarely d’Aix-en-Provence dans le cadre du projet franco-croate arts et sciences « Structures de l’invisible », ainsi qu’au Musée d’Art Moderne de Rijeka en Croatie. D’autres expositions récentes ont eu lieu au Carré Amelot à La Rochelle, au centre d’art Circa à Montréal, au centre d’art le 6B de Saint-Denis et à la Société des arts technologiques à Montréal.
Elle poursuit ses recherches dans la sculpture et le mouvement par le biais d’installations numériques in-situ qu’elle met en perspective avec les sciences cognitives

 

Site de l'artiste

 

 

Nicolas Rouget

Oeuvres issues de l'exposition "Les Histoires de cinéma finissent mal, en général"

Au départ, il y a les mots. Ces mots qui résonnent au détour d’un film, d’un roman ou encore d’une pièce de théâtre. C’est bien connu, les mots font des phrases et les phrases des histoires. Il va de soi que les vraies histoires sont celles qui convoquent d’une manière ou d’une autre le sentiment amoureux.


Ensuite, il y a les images. Ces images qui font peur quand elles ne font pas rire. Ces clichés qui bouillonnent en nous et que l’on ne peut s’empêcher de vivre à chaque fois que surgit le temps de l’aventure.

 

 

 

Des mots, des images… Le cinéma n’est jamais bien loin. C’est le moment de la projection, c’est le temps de l’amour.
Avec cette nouvelle réalisation créée avec des habitants de Poitiers pour l’Artothèque, Nicolas Rouget poursuit son exploration du caractère narratif de la photographie. Les Histoires de cinéma finissent mal, en général présente une série de photographies avec sous-titres que l’on pourrait croire sorties de films en VO. Un rapport texte / image qui invite à être poursuivi car ce projet est conçu pour entrer en résonance avec des documents empruntables du fond de la médiathèque.

 


Peter Martens

Peter Martens est un photographe néerlandais né en 1937 et mort en 1992. Il rejoint Lievense & de Munnik Foto en Film en 1956. En 1959, il devient assistant du photographe Leen van Oudgaarden et commence une formation à la Fotovakschool de La Haye. Rêvant d'une carrière dans le cinéma il suit une formation cinématographique à Rome, il démissionne en 1962, pour finalement s'établir comme photographe indépendant à Rotterdam deux ans plus tard.

Le monde entier est devenu son domaine d'activité. Dans la tradition américaine de Lewis Hine, Walker Evans, Weegee et Diana Arbus, il développe avec Ed van der Elsken le style «photographe de rue». Avec un œil attentif sur les oubliés de la vie, il y perçoit au premier regard les souffrances et les petites joies. Il a publié dans les magazines hebdomadaires De Tijd, Nieuwe Revu et Panorama.

En 1984, il a reçu le prix Capi-Lux Alblas pour l'ensemble de son œuvre et en 1988, la Silver Camera Foundation l'a proclamé photojournaliste de l'année. Trois ans avant sa mort prématurée, le livre Cruel Compassion (1989) est édité avec une sélectiondan de son travail ultérieur en couleurs. En 2000, une monographie sur sa vie et son travail est également publiée.

“Pour moi, une photo doit vous saisir et vous renverser, elle doit immédiatement révéler que le monde marche sur la tête et que les gens souffrent sans aucune raison.”
 Cette déclaration de Peter Martens est significative de son travail et de sa méthode. Avec son collègue Ed van der Elksen, Martens est devenu l'un des photographes de rue les plus marquants de sa génération aux Pays-Bas.

 

Informations pratiques

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Médiathèque François Mitterrand - 4, rue de l'Université CS 70619 86022 Poitiers Cedex - Tel : 05 49 52 31 51.

 
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